C’est un terrible faits-divers qui s’est déroulé samedi soir à Motta Visconti, en Italie. 

Carlo Lissi, 31 ans, a avoué le meurtre de sa femme et de ses deux enfants, une fillette de cinq ans et un petit garçon âgé de 20 mois. Amoureux d’une de ses collègues, Carlo lui faisait des avances qu’elle repoussait. Il voyait alors sa famille comme un obstacle et a décidé de les tuer.

En rentrant chez lui, il a eu une relation sexuelle avec sa femme sur le canapé pendant que les enfants dormaient dans leur chambre. Il s’est ensuite rendu dans la cuisine pour se munir d’un couteau et a poignardé sa femme à plusieurs reprises avant de l’égorger. Ensuite, il a été dans la chambre de ses enfants pour les tuer à leur tour.

Après s’être lavé et changé, Carlo Lissi a rejoint un bar pour assister au match de la Coupe du Monde « Italie-Angleterre ». Une fois le match terminé, le père de famille est rentré chez lui et a appelé la police en expliquant qu’il venait de découvrir les corps.

Placé en garde à vue, l’homme a fini par craquer en avouant son triple meurtre.

Un détenu, qui purgeait une peine pour violences conjugales, a profité d’une permission de sortie pour tuer son ex-femme. 

Âgé de 49 ans, l’homme a été placé en garde à vue mardi soir après s’être accusé dans un bar à Lyon d’avoir assassiné son ex-compagne. Agée de 41 ans, celle-ci a été découverte dans un état très critique à son domicile de Caluire (Rhône) après avoir reçu plusieurs coups de hache.

La victime a été touchée au cou et à la tête et est décédée à l’hôpital des suites de ses blessures.

L’auteur présumé des coups a profité de sa permission pour se rendre au domicile de son ex-compagne. Il était incarcéré à la prison de Corbas (Rhône) pour des faits de violences conjugale ayant déjà concernés la victime.

Sa peine était de sept mois de prison selon le parquet qui a indiqué que l’homme était « libérable en juillet » et que cette permission se faisait dans un processus habituel ayant pour but d’éviter des sorties sèches.

Au Nigeria, un homme a été arrêté pour le meurtre barbare de son fils. 

Chris Elvis avait cadenassé la bouche de son petit garçon de 4 ans afin qu’il ne crie pas lorsqu’il lui a brûlé le corps avec un fer chaud. Il l’a ensuite enfermé dans un tonneau en plastique pour l’asphyxier.

C’est la mère, partie faire les courses, qui a découvert le corps de l’enfant à son retour.

Lors de son arrestation, le père a déclaré que son fils lui portait malheur avant de tenter de se faire passer pour un fou. Mais après avoir passé des tests, l’homme a été déclaré psychologiquement et mentalement « normal ».

Chris Elvis sera prochainement présenté devant un tribunal. Il risque la peine de mort.

Bourges, un homme toxicomane a coupé le doigt de sa mère pour lui voler sa bague.

La femme, âgée de 63 ans, a été retrouvée morte à son domicile poignardée à coups de couteau.

Elle était allongée dans le sous-sol, le corps lacéré de coups portés à l’arme blanche et un doigt coupé, a priori pour s’emparer de la bague qu’elle portait. Le fils indigne lui a également volé d’autres objets, avant de prendre la fuite au volant de la voiture de la victime.

Le toxicomane s’est ensuite fait flasher avant d’abandonné le véhicule accidenté sur le bord d’une route.

Déjà connu des services de police, il a été arrêté vendredi puis mis en examen dimanche pour homicide. En attendant son jugement, il a été placé en détention provisoire.

On peut cuisiner beaucoup de chose à la vapeur. Même son mari.

Une chinoise est accusée d’avoir fait cuire son mari à la cocotte minute. L’homme abusait d’elle et de sa fille, et la femme en est arrivée au meurtre.

Elle a drogué son mari, puis l’a torturé pendant trois jours, le privant d’eau et de nourriture. Elle l’a ensuite battu à mort, avant de le démembrer avec une scie et de faire bouillir les parties de son corps pour effacer les traces de son méfait.

Au bord de la crise de nerfs à cause du stress psychologique de son crime, elle s’est finalement rendue à la police où elle a avoué le meurtre.

Tout va bien en Chine, tout va bien.

Dans la série « Je poste une photo que je ne devrais pas sur Facebook », Derek Medina vient de mettre la barre très haute.

Ce floridiens de 31 ans aurait pu mettre une photo de son repas à base de souris, de lui déguisé en Marilyn Monroe, ou simplement de ses fesses. Mais non, il a préféré poster une photo du cadavre de sa femme.

Sur le cliché, Jennifer Alfonso, tuée par balle et baignant dans une mare de sang, avec pour seule légende « RIP JENNIFER ALFONSO ».

Derek a peu après updaté son statut qui sonnait comme une confession :

Je vais aller en prison ou subir la peine de mort pour avoir tué ma femme. Elle me frappait, et je ne pouvais plus supporter ses abus, j’ai donc fait ce qu’il fallait que je fasse. J’espère que vous me comprendrez.

L’homme s’est rendu à la police dans la foulée. Et bientôt une photo de son procés? Puis une de sa cellule? Puis une des douches? S’il te plait Derek, arrête Facebook, ça ne te réussit pas!